Cette déclaration aborde la crise climatique et de la biodiversité comme un « échec fondamental de conception », résultant de systèmes humains construits en conflit avec les systèmes naturels. Nous affirmons qu’un avenir viable est impossible si « LE PAYSAGE NE PASSE PAS EN PREMIER », car il constitue le système d’exploitation fondamental de toute vie.
Nous exhortons les dirigeants et les financiers mondiaux à dépasser les objectifs cloisonnés et axés uniquement sur le carbone et à plutôt : Intégrer le paysage en tant qu’infrastructure essentielle, en mettant en œuvre des concepts tels que les « villes éponges » pour renforcer la résilience urbaine face à l’eau.
- Donner du pouvoir aux intégrateurs et aux connaissances autochtones, en reconnaissant les architectes paysagistes comme des collaborateurs essentiels capables d’unir l’écologie, la politique et la co-création communautaire, guidés par les connaissances écologiques traditionnelles.
- Financer la Fondation, en reconnaissant que des paysages sains constituent la forme d’infrastructure climatique la plus rentable et la plus durable.
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